Pas cool la canicule juillet-août. Pour les bi et quadrupèdes c'était raide. Le thermomètre a frisé les 40° plusieurs fois et si a l'intérieur on restait en dessous de 30° on tirait quand même la langue.

Le plus dur a été pour Buddy, le petit cochon d'inde. Péruvien d'origine je pensais qu' il ne craignait pas trop le chaud. Erreur, ces petites bêtes commencent à réagir à 22°, à cette température il faut, au mieux les sortir de cage sinon dans celle-ci, mettre le minimum de sciure. Jusqu'à 25° il faut les rafraîchir en disposant des linges humides au sol ou bien envelopper des ice blocks dans des serviettes de toilette. Au delà de 25° elles risquent un coup de chaleur qui peut s'avérer fatal.

Le petit Bud avait déjà des conditions de vie à part puisqu'il se promène librement dans ma chambre. Sa mère adoptive m'a comme qui dirait "refilé le bébé". Pauvre loupiot, il est arrivé après une tablette samsung et n'a pu rivaliser. 4 mois de cohabition puis il s'est fait expulser et et venu toquer à ma porte pour demander asile.

Il s'y plait beaucoup, pensez, une cage de 18 m2, combien de cobayes peuvent en dire autant ?

Aller, un rapide coup d'oeil sur mon grand coin

Certains disent qu'il n'y a plus de saison il se peut car nous avons eu de beaux jours de soleil en mars et de la neige à la mi-juin alors...

Mes humains eux diraient plutôt qu'il n'y a pas de saison.

Pour quoi faire ? 

Vous avez compris bien sûr qu'il s'agit d'adopter. Mais vous ne savez pas encore quoi.

La réponse à l'article suivant

Ce matin dans le ciel, un vol d'oies. Le petit zoom de mon appareil ne m'a permis que ce cliché mais vous avez ma parole ce sont bien des oies. A coup sur à cette époque elle partent mettrent leurs abattis au chaud avant les fêtes et les grands foies, froids.

Lontano en Afrique est un petit village du Kinshasa au Congo dans lequel j'ai séjourné quelques jours, le temps d'y découvrir l'histoire de l'homme-clou, tueur en série des années 70 dont le modus operandi se retrouve dans des meurtres commis à notre époque en Bretagne et à Paris.

Le dernier livre de Jean-Christophe Grangé.

Je viens d'achever cet ouvrage, le 9ème que je lis de cet auteur. Jamais aucune déception, il a un processus d'écriture qui est assez carré et bien que les thèmes diffèrent j'y retrouve toujours des incontournables, et dans les éléments et dans la construction des intrigues.  Ses histoires policières sont complexes, au minimum a deux "branches" qui se recoupent inéluctablement au fil de l'enquête. Ses pages sont émaillées d'informations justes et vérifiées autant dans le domaine des sciences, que de l'histoire, de l'art, de la musique etc...C'est un auteur de grand talent qui me procure plaisir et connaissances et dont j'attend déjà la parution du nouveau roman.

En balade avec papi Mougeot et son scottish, Brit, sur la lande du Scotch-brite.

Rencontreront-ils en forêt l'elfe Tremollo (tellement lent que même les mouches ont le temps de lui chier dans l'oeil) ?

Auront-ils tous la chance d'entendre le gazouilli de Lara, l'oiseau de paradis rose ?

Cela se pourrait en effet, je crois que Brit est dans son sillage. Bon chien !

Ainsi s'est abattue sur moi la malédiction de la fimo. Je dis "malédiction" parceque c'est un peu comme le puzzle ou le tétris, même quand on joue pas on y pense quand même et on attend avec grande impatience le moment ou l'on pourra s'y remettre.

J'ai regardé la notice, pas de solvant particulier( et pourtant, ça pue)pour expliquer le phénomène d'addiction .  Au début, la semaine dernière, je patouillais d'un doigt hésitant. Ce soir, avec l'impératif de "livrer" une nénette à mon curé, je me suis lancée dans l'aventure du figuratif.

Décidément mes mains ne cesseront de me surprendre. J'espèrais modestement produire une sympathique coquine pour l'abbé Fimo. Au lieu de ça, il lui échoue en guise de naïade

Je me demande si je ne vais pas ajouter une rubrique car je prends goût à la fimo et il va me falloir ranger mes "créations". Au moins là, elles prendront toujours moins de place que sur les étagères. Eh oui c'est un détail auquel je pense, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toutes ces petites choses ???Les offrir ce serait une option mais avant cela il faudra que je peaufine ma technique.

Le mercredi aprèm il n'y a pas que les petits qui s'amusent.

Je vous présente Don Fimo.

Il me reste maintenant à donner forme à la cause de sa peur. Qu'est-ce qui peut bien effrayer un curé ??

ça commence bien !

Je suis sure que cette réplique parle à beaucoup. Tient oui au fait, qui reconnait de quel film elle est tirée ?

Cette phrase me vient presque à chaque fois que je tente une nouvelle expérience avec la fimo.

D'ordinaire j'aurai terminé mon article comme il se doit, dans son prolongement. Mais j'ai hâte que le profil du petit saligaud ne soit plus en 1ère page de mon blog chaque fois que je l'ouvre :{

Allons faire un tour dans les rues de Saint rambert.

Depuis Saint Just ça représente un sacré dénivelé, et c'est par une ruelle méchament escarpée que nous arrivons aux portes du nouveau village