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heu, sorry mais je préfèrai avant. le côté fouillis me rappelle chez moi, hihi. http://lescoul eursdemyriam.c
Par lescouleursdemyria, le 29.04.2018
je vois que tu es très occupée en effet ;.d bisous. http://lescoul eursdemyriam.c enterblog.net
Par lescouleursdemyria, le 29.04.2018
me rappelle kiwi, mon épagneul breton qui méritait d'être coupé en rondelles plusieurs fois par jours. on a fi
Par lescouleursdemyria, le 08.12.2017
ah, bowie, tu tournes le couteau dans la plaie, là. je l'aimais beaucoup et je trouve cet album terriblement t
Par lescouleursdemyria, le 08.12.2017
je ne savais pas qu'ils voyaient peu. pas de mue en été pour avoir moins de poils qui tiennent chaud ? http://
Par lescouleursdemyria, le 08.12.2017
Date de création : 25.04.2013
Dernière mise à jour :
11.02.2018
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Non que je craigne de m'attirer les foudres de l'Académie Française, mais pour ne point induire en erreur mes éventuels visiteurs, je dois préciser que les quarante immortels d'aujourd'hui considèrent le terme "auteure" comme un barbarisme et son usage n'est toujours pas accepté. Néanmoins avec un prénom pareil....
J'en viens au fait. Accompagnant ma petite miss à la bibliothèque municipale pour des recherches concernant un travail de classe, j'ai profité de ce qu'elle prospectait des informations pour flâner dans les rayons. Rapidement j'ai dégoté deux ouvrages dont les résumés m'ont emballé. J'allais m'en contenter lorsque de loin, un nom m'a fait de l'oeil. King écrit en grosses lettres. Je suis fan depuis mon adolescence de ses bouquins d'horreur. Reconnaissant là une valeur sure de la littérature que j'aime, je m'empare du volume et reste étonnée par le prénom associé à ce patronyme culte.
Etonnée non par le prénom lui-même puisque Stephen King cite et remercie sa moitié dans chacun de ses ouvrages mais plutôt parceque j'ignorais qu'elle aussi écrivait dans ce registre. Je la savais auteur de poèmes et de nouvelles.
Autant dire que la curiosité m'a fait l'entamer tout de suite. Je viens de le finir et même sans y avoir chercher de comparaisons avec le style de son mari, elles sont apparues d'elles-mêmes. La précision des descriptions que ce soit celle des personnages ou de l'atmosphère typique des années 50-60 dans les petites villes et campagnes Américaine sur fond de clivages noirs-blancs, pauvres et bourgeois. L'histoire d'une vie racontée par une petite fille de 7 ans orpheline de père (assassiné) rejetée par le reste de la famille maternelle et qui passe pour idiote aux yeux de presque tous. Calliope est intelligente, clairvoyante et possède un don qui l'amènera a découvrir la vérité sur bien des secrets de famille et lui permettra de prendre sa revanche et de gagner sa liberté.
On croit parfois que l'autre se trompe alors que c'est nous qui, ne sachant pas, tirons de mauvaises conclusions.
Je m'explique : j'ai entrepris récemment un nouvel ouvrage de Ken Follett. Dans le 1er chapitre du " pays de la liberté", il dépeint dans l'Ecosse du XVIIIème, la vie des bourgeois Anglais et celle des familles de mineurs qu'elles exploitent.
Ken Follett est Anglais et donc ce livre est traduit. Il arrive de fait que parfois des coquilles se glissent. Aussi quand il a été question de "poussier de charbon" je me suis dit "manque un E". Puis j'ai trouvé "poussière" écrit correctement plusieurs fois. Et enfin voilà que je retombe sur "poussier" deux fois. J'ai pensé que le traducteur était sans doute laxiste et semait les "E" au gré de ses envies.
Prise d'un doute je viens de vérifier sur le net. Eh ben vous savez quoi ! J'ai appris quelquechose que je vais partager, après avoir présenté mes excuses à Jean Rosenthal le traducteur rigoureux.
Le poussier est un ensemble de fines particules de poussière de carbone, hautement inflammables, présent lors de l'extraction du charbon dans les mines. Il est aussi responsable de la maladie pulmonaire appelée silicose.
On pourrait appeler ça de la boulimie car en ce moment je dévore les livres comme jamais. En même temps je suis au régime, il faut bien compenser et s'occuper...lol
Un autre petit volume qui m'a apporté beaucoup de plaisir car l'histoire se passe au Vietnam et que j'ai de l'affection pour ce coin d'Asie et de l'intérêt pour son histoire.
Quân, Luong et Biên sont amis depuis l'enfance. Originaire du même village, ils se sont enrôlés le même pour combattre l'envahisseur Américain. Quân, devenu capitaine, est envoyé au front pour retrouver Biên, sur le point de sombrer dans la folie.
En traversant la jungle et les vallées sinistréespar les bombardements, il réalise le fossé qui les sépare désormais. Au fil de son angoissant périple il nos fait partager ses souvenirs de sa vie heureuse de jeune homme pressé de défendre son idéal, à jamais disparue.
Je suis restée absente longtemps mais je ne suis pas allée concrètement aussi loin que le suggère le titre. Je voyage beaucoup c'est vrai mais à travers la lecture seulement, ceci dit quand le livre est bon il offre une évasion réelle.
C'est Laurent Gounelle qui, le premier, a redonné du tonus à mon cerveau.
Il nous présente un jeune professeur de philosophie qui, obssédé par le meurtre de sa compagne journaliste, décide de démissionner pour partir en Amazonie se venger d'une tribu d'indiens qu'il tient pour responsables.
Il embauche quatre mercenaires pour le conduire jusque dans la jungle et se charger de leur destruction. Sandro est habité par les pensées de Marc Aurèle et c'est selon des principes philosophiques et grâce à ses connaissances de la nature humaine qu'il entend exterminer les indiens. Anéantir leur cohésion, parasiter leur sérénité, chambouler leurs traditions. Les mercenaires découvrent alors que la torture peut s'infliger autrement qu'avec des armes. Sceptique et réfractaire au début, Krakus leur chef, constate l'efficacité de la méthode et devient le disciple de Sandro. Le mal fait à la tribu est déjà bien installé quand la vérité se fait sur le meutre de sa femme. Sandro tente alors de stopper le massacre mais Krakus est trop investi dans sa mission....C' est auprès d' Elianta, une jeune chamane qu'il va touver une alliée pour essayer de restituer sa vie d'origine à son peuple.
1ère lecture sous l'arbre de cette année 2014.
Pour découvrir de quoi il s'agit et se le procurer http://lescouleursdemyriam.centerblog.net/
Rendez-vous délicieux avec un roman de Pennac, le "journal d'un corps"(2012).
J'ai eut le coup de foudre pour Pennac il y a longtemps avec la famille Mallaussène. Je choisi ses romans les yeux fermés, il est une valeur sure du plaisir de lire. Mais c'est une infime partie de son talent car il est lui-même un homme captivant et séduisant : un orateur ensorcelant.
Lison reçoit au décés de son père une multitude de petits cahiers. Surprenant héritage au travers duquel il lui révèle sans artifice ce que son corps a vécu pendant 76 ans. Descriptions minutieuses de la peur, de la souffrance, des sensations et aussi du plaisir que son être lui a fait découvrir. Une expérience intime racontée avec sincérité et humour, beaucoup d'émotions partagées.
J'ai mis un pied dans ce que j'esquivais depuis 25 ans et c'est du bonheur.
Merci monsieur Ken Folett de m'avoir appris l'histoire et plus précisément celle de la seconde guerre mondiale avec votre roman. Evidemment les années de lycée m'avaient laissé quelques notions, résidu d'un gobage mécanique obligatoire pour les régurgitations sur copies notées. Je ne regrette pas de ne pas m'y être intéréssée jusque là, il y a un temps pour chaque chose et surtout une disposition d'esprit propice, en revanche, aujourd'hui, je prends du plaisir à savoir les qui, ,comment, pourquoi des événements de la période 33-49 décortiqués dans ce bouquin. J'appréhendais d'arriver à la fin, qu'est-ce qui pourrait bien lui succéder. L'envie de rester immergée dans cette époque a guidé mon choix : direction la bibliothèque et la maison de la presse
Un, deux, trois en Suédois, petit clin d'oeil aux premiers volumes d'une série de sept polars de Camilla Lackberg.
Amatrice de ce genre de littérature je les ai trouvé excellents. Le style d'écriture est agréable et les enquêtes prenantes et bien menées par une équipe hétéroclyte mais efficace de flics de campagne. La petite ville de Fjelbaccka et ses alentours sont le théatre de crimes dont l'élucidation fait renouer chaque fois avec le passé de certaines familles et de bien noirs secrets. Il me tarde que les derniers romans sortent en pochent pour me replonger dans cette atmosphère si particulière qu'on ne trouve que dans les livres et les films Suédois.
Derrière ce nom à rallonge se cache un jeune auteur Espagnol dont je viens de lire le second ouvrage.
Monsieur Y. est un tueur à gage qui a la poisse et dont la vie personnelle est bien compliquée. Il est persuadé de vivre chaque matin son dernier jour à cause des nombreuses maladies facétieuses dont il pense être atteint. Malgré tout, il lui faut mener à bien son ultime contrat qui traine depuis plus d'un an : assassiner monsieur Blaisten. Tout au long du roman, nous le suivons dans ses multiples tentatives de meutres et en paralèlle nous découvrons la longue liste de ses maux imaginaires ainsi que des anecdotes relatives à des personnages historiques(Marat,Kant,Edgar Poe, Molière etc..) qui, comme lui, étaient hypocondriaques.
Le dernier Teulé. Un régal comme les précédents mais avec un petit charme particulier car l'histoire se déroule en Bretagne dans les années 1850 (j'ai le béguin pour cette région).
En trame de fond, les heurts qui agitent la population à cause du clivage entre légendes populaires et catholicisme. Quant à l'histoire, c'est celle de Jeanne Jégado et de son périple meurtrier jusqu'à la guillotine. Petite fille, elle écoutait terrorrisée les légendes effrayantes racontées par ses parents. Redoutant la visite de l'Ankou (la faucheuse), elle décide d'incarner ce funeste personnage pour ne plus avoir à le craindre. Ainsi commence sa longue carrière d'empoisonneuse à l'arsenic à travers de nombreuses villes et campagnes du Finistère.